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  • Chine/Russie, le duo infernal de l'ingérence en Europe, nos propositions pour lutter contre.

    La Chine et la Russie sont devenus un sujet de préoccupation croissant l'Europe en matière d'ingérence. Les deux pays exploitent différentes méthodes pour influencer les affaires politiques, économiques et culturelles en Europe. En 2024 se tiendront les prochaines élections européennes et la question reste très préoccupante. La Chine, par exemple, utilise ses investissements massifs dans les infrastructures et les entreprises européennes pour renforcer son influence politique. Le programme chinois des Nouvelles Routes de la soie, qui vise à promouvoir les liens commerciaux et d'infrastructure entre la Chine et l'Europe, a suscité des inquiétudes quant aux implications géopolitiques et à la dépendance économique accrue des pays européens envers la Chine. La Russie, quant à elle, utilise des méthodes plus subtiles pour influencer les affaires européennes. Elle utilise souvent des tactiques de désinformation et de propagande, utilisant les médias d'État et les réseaux sociaux pour propager des narratives soutenant ses intérêts. La Russie a également été accusée d'interférence dans les élections européennes, en finançant des partis et des groupes d'extrême droite et en diffusant des informations trompeuses pour semer la discorde et perturber les démocraties européennes. L'ingérence chinoise et russe en Europe soulève des questions sur la souveraineté et la sécurité des pays européens. Les gouvernements européens sont de plus en plus soucieux de protéger leurs démocraties contre ces ingérences, notamment en adoptant des lois pour surveiller et réglementer les investissements étrangers, en améliorant la cybersécurité et en renforçant les capacités de lutte contre la désinformation. Il est important de noter que tous les investissements et interactions de la Chine et de la Russie en Europe ne sont pas nécessairement néfastes. Les relations économiques et politiques avec ces pays peuvent apporter des avantages mutuels, à condition qu'elles soient transparentes et respectueuses des normes et des valeurs européennes. Il est donc crucial pour les pays européens de maintenir la vigilance et de mettre en place des mécanismes de contrôle appropriés pour faire face à l'ingérence étrangère tout en préservant les avantages des relations avec la Chine et la Russie. Pour lutter contre l'ingérence en Europe, nous soulignons plusieurs mesures qui doivent être mise en place : 1. Renforcer la coopération entre les pays membres de l'Union européenne (UE) : il est essentiel de mettre en place une collaboration étroite entre les pays européens afin de partager des informations, des ressources et de coordonner les actions pour contrer l'ingérence étrangère. 2. Améliorer la cybersécurité : l'ingérence étrangère peut passer par des attaques informatiques, des piratages ou des manipulations de l'information en ligne. Renforcer la cybersécurité des institutions européennes et des infrastructures critiques est donc primordial. 3. Sensibiliser les citoyens européens : il est important de sensibiliser les citoyens aux tentatives d'ingérence et de les informer des stratégies utilisées par les étrangers pour influencer les opinions politiques. Cela peut être réalisé à travers des campagnes d'information, des sessions de formation et une éducation aux médias. 4. Renforcer les législations nationales et européennes : il est nécessaire de mettre en place des mesures législatives qui interdisent et sanctionnent l'ingérence étrangère. Cela peut inclure des lois sur la transparence du financement politique, la régulation des médias étrangers ou la protection des données personnelles. 5. Renforcer les capacités de renseignement : les agences de renseignement européennes doivent être bien équipées et dotées de ressources suffisantes pour suivre et contrer les activités d'ingérence étrangère. 6. Promouvoir l'unité et la solidarité européennes : l'ingérence étrangère peut être utilisée pour diviser les pays européens. Il est donc crucial de promouvoir l'unité et la solidarité entre les pays membres de l'UE pour faire face de manière collective à ces tentatives d'ingérence. En mettant en œuvre ces mesures, l'Europe pourra lutter plus efficacement contre l'ingérence étrangère et protéger sa souveraineté et ses intérêts.

  • Glyphosate: Emmanuel Macron très loin de ses engagements

    La France pèse lourd au sein des institutions européennes et c'est sans surprise qu'elle s'est abstenue pendant le vote sur l'autorisation du glyphosate pourtant jugé cancérigène probable par l'OMS. Paris préfère un encadrement plus stricte sur son usage. Pourtant Emmanuel Macron, en 2017, s'était montré beaucoup plus enclin à se prononcer en faveur de son interdiction. Lors de sa campagne présidentielle en 2017, il avait promis de l'interdire dans les trois ans suivant son élection. Après son arrivée au pouvoir, Macron a changé de position en affirmant qu'une interdiction totale du glyphosate d'ici 2021 était irréaliste, en raison du manque d'alternatives efficaces pour les agriculteurs français. Il a également fait valoir qu'une interdiction brutale pourrait nuire à la compétitivité de l'agriculture française et mettre les agriculteurs en difficulté. Malgré cela, Macron a exprimé sa volonté de réduire l'utilisation du glyphosate en France et de favoriser la transition vers des alternatives plus respectueuses de l'environnement. Le gouvernement a mis en place des mesures pour encourager les agriculteurs à réduire l'utilisation du glyphosate, notamment en proposant une aide financière pour l'achat de matériel alternatif. Cependant, cette position a été critiquée par certains groupes écologistes et des membres de l'opposition, qui estiment que Macron ne fait pas suffisamment pour protéger l'environnement et la santé publique. Pour rappel, ce produit a été classé comme cancérigène probable par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2015, mais d'autres agences de réglementation, telles que l'Agence de protection de l'environnement des États-Unis (EPA) et l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), ont conclu qu'il ne présente pas de risque cancérigène pour les humains lorsqu'il est utilisé conformément aux instructions. Il est important de noter que l'évaluation des risques cancérigènes est complexe et peut varier en fonction des méthodes et des critères utilisés. Les agences de réglementation continuent de réévaluer les informations disponibles sur le glyphosate et de déterminer s'il est nécessaire de prendre des mesures supplémentaires en matière de réglementation.

  • Inflation alimentaire: la France à la traine en Europe, nous demandons un panier inflation européen

    Alors que la polémique fait rage en France sur le ticket restaurant, la France est le pays où les prix ont le plus augmenté depuis janvier 2022. Nous demandons un panier inflation européen: Face à une polémique montante, Olivia Grégoire, Ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises et du Commerce, a préféré faire marche arrière en annonçant la prolongation de la mesure qui autorise à se servir du ticket restaurant sur les produits alimentaires comme les pâtes, le riz ou encore le lait infantile. Cette polémique est intervenue alors que la France est pointée du doigt sur l'inflation alimentaire selon l'analyse de NielsenIQ pour LSA . Le panéliste a passé à la loupe des milliers de prix sur les produits de la grande consommation dans sept pays européens. Le constat est sans appel avec une inflation cumulée de 17,9% entre janvier 2022 et août 2023. La France était sur les plus hautes marches en janvier dernier puisque son inflation alimentaire était fixée à moins de 12% sur une année. Le rapport souligne que les autres pays de l’Europe de l’Ouest ont diminué leur inflation alimentaire. Dans l’hexagone, la guerre des prix fait rage depuis 5 ans avec des enseignes qui utilisent des prix bas contribuant à une forte déflation et à un rattrapage des prix. Cette politique de rattrapage s'accompagne d'une envolée des prix depuis un an et demi. Les grandes enseignes précisent que les prix d'avant ne seront jamais retrouvés. La guerre en Ukraine et la hausse des matières premières est la première des raisons invoquées. Les distributeur sont libre de faire des marges sur les produits qu'ils veulent avant de fixer le prix final ce qui ne va pas arranger le panier de course des consommateurs. Aussi l'optimisme affiché de l’exécutif sur la fin de la crise inflationniste risque d'être une énorme déconvenue dans les rayons. En septembre 2023, la Commission européenne avait publié les nouvelles prévisions économiques et avait finalement abaissé ses projections de croissance et relevait celles de l’inflation. Europe Équitable souhaite une régularisation des prix à l'échelle européenne pour lutter contre les disparités sur le continent et parvenir à un rééquilibrage entre l'Europe de l'Est et l'Europe de l'Ouest. Nous nous prononçons en faveur d'un "panier inflation européen" adaptable aux différents états membres selon leur PIB national pour les produits agricoles et alimentaires avec des prix fixés.

  • Une taxe équitable aux frontières de l'Union européenne: une urgence humanitaire

    L'Europe se confronte à la concurrence des entreprises étrangères. De la Chine au Bangladesh, nos produits du quotidien sont fabriqués à l’autre bout du monde et à moindre coût. Outre le fait d'être une concurrence déloyale pour les entreprises européennes, elle soulève les conditions extrêmes dans lesquelles ces produits sont fabriqués. Les condi­tions bafouent quotidiennement les droits humains. Au Bangladesh, les jeunes enfants des bidonvilles travaillent jusqu'à soixante heures par semaine dans les usines textiles où les marques internationales produisent leurs vêtements qui se retrouveront dans nos boutiques, nos supermarchés. Ce sont 15% des enfants entre 6 et 14 ans et le chiffre à 50% à partir de 14 ans qui contribuent ainsi au secteur du textile qui pèse 30 milliards de dollars dans l'économie du Bangladesh. Le salaire moyen de ces enfants, donc 256 heures par mois, est en moyenne 8 euros par semaine dans des ateliers de confection souvent insalubres. Le drame du Rana Plaza avait suscité une forme émotion mais aussi l'indignation. Le 24 avril 2013,1 135 personnes avaient trouvé la mort après l’effondrement d'un immeuble qui abritait des ateliers de confection employant des travailleurs très pauvres. C'est au dumping social des multinationales qu'il faut s'attaquer pour venir en aide à ces populations pauvres. La mise en place d'une taxe équitable aux frontières de l'UE serait un premier pas, elle serait équivalente à la différence entre le seuil d’extrême pauvreté et la rémunération que les travailleurs ont perçue. La députée européenne de la Mayenne Valérie Hayer avait déjà fait également cette proposition pour ces produits fabriqués hors UE. D'une certaine manière, il s'agirait aussi de responsabiliser les entreprises européennes où qu’elles agissent dans le monde. La Commission européenne a proposé un texte inspiré de la loi française « Devoir de vigilance » pour que les entreprises de l’Union rendent des comptes de leurs actes partout dans le monde lorsqu'il s'agit d’environnement et surtout de droits de l’Homme. Les 1 135 ouvriers et ouvrières du textile morts dans l’effondrement du Rana Plaza, à Dacca au Bangladesh travaillaient pour le compte des marques et des grandes enseignes françaises. Ce devoir de vigilance des entreprises pour lequel le Parlement européen avait adopté une résolution en 2021 sous la pression des ONG n'est pas suffisant. Les entreprise européennes sont responsables des agissements de leurs filiales, de leurs sous-traitants et de leurs fournisseurs et sont de facto responsables où qu’ils soient dans le monde du respect des droits humains: conditions de travail, travail des enfants, etc...Ce sont 13 000 entreprises européennes qui sont concernées. La mise en place d'une taxe équitable aux frontières de l'Union européenne est donc une urgence humanitaire.

  • L’Europe face à l'antisémitisme: une politique européenne s'impose

    L’Europe face l'antisémitisme Dans le sillage de la guerre à Gaza, les actes antisémites ne cesse de se multiplier en Europe. Sur le continent les clichés discriminatoire sont toujours aussi entretenus. À l'heure ou en Europe des marches dénoncent le retour de la bête immonde, il est temps temps de s’interroger. Dans toutes la France on compte pas moins de 180 000 manifestants descendus dans la rue malgré les nombreuses polémiques du fait de la présence de l'extrême droite. A Bucarest les Roumains ont eux aussi tenu à manifester une solidarité avec Israël et les otages. A Bruxelles une marche à aussi eu lieu et rassemblé des milliers de personnes. Face à la multiplication de ces actes, l’Unesco vient d'annoncer un nouveau partenariat avec la France, l'objectif étant de prévenir et lutter contre la recrudescence de ces actes. Les établissements scolaires et universitaires seront la priorité. C'est dans le cadre de sa 42ème Conférence générale à venir que l'Unesco dévoilera d’avantages de précisions. Nous serions en droit de nous interroger sur ce que fait l'Europe sur la question. Pour rappel, l'UE en 2021 a décidé de mettre en place une stratégie de lutte contre l'antisémitisme en soutenant la recherche et la mémoire sur le Shoah, et par de la prévention en ligne en demandant aux états membres la mise en place de plans nationaux. Seulement la commission européenne n'impose rien, elle ne fait que proposer. Force est de constater que deux ans après cette simple volonté d'agir est loin d'être suffisante. En France plus de 1000 actes antisémites ont été recensés depuis début octobre, 400 en Grande Bretagne, 165 cas en Autriche, 540 en Allemagne. L'Europe de l'Ouest semble à la traîne comparée à l'Europe de l'Est. Ces disparités indiquent que beaucoup reste à faire et qu'une ligne de conduite commune doit être envisagée. Bien que l'Europe a demandé l'adoption d'une définition commune sur l'antisémitisme, rien ne semble y faire. La problématique de l'antisémitisme est lointaine et ne commence pas à la création du terme "antisémitisme" mais va chercher sa source jusque dans l’antiquité. L'Europe doit renforcer son ambition de lutte et veiller à la mise en application des propositions faites en 2021. Un programme de lutte contre les clichés permettrait de déconstruire nombreuses idées reçues qui circulent dans l'inconscient collectif et relayées par des groupes complotistes sur les réseaux sociaux notamment durant la pandémie du Covid. Les budgets alloués pour protéger les lieux de cultes pallieront à la résurgence de l'antisémitisme mais non à sa disparition. A l'heure ou l'Europe célèbre le triste anniversaire de la nuit de cristal, des stages de sensibilisation doivent être mises en place au-delà les écoles, des politiques éducatives européennes doivent être pensées, imposer des mesures financières supplémentaires aux Gafas pour lutter sur les réseaux sociaux, lors de condamnations de jeunes mineurs imposer des stages de sensibilisations plutôt que de simples travaux d’intérêts généraux, condamner et clôturer les comptes des influenceurs antisémites.

  • Forum mondial sur la démocratie: l'Europe pointée du doigt dont la France.

    C'était à Strasbourg lundi 6 novembre que c'est tenu le 11e forum mondial sur la démocratie. Pour cette édition, le forum s'est intéressé à la démocratie sur les continents, résultat l'Europe est pointée du doigt. On ne peux parler de démocratie sans parler de paix et c'est autour de ce thème que ce 11e forum s'est déroulé. Un constat sans grande surprise est celui de l’affaiblissent des démocratie dans le monde. Ce constat fait suite au dernier rapport publié par l'Institut international pour la démocratie et l'assistance électorale (International IDEA). Ce n'est pas tant la partie de la démocratie Européenne qui a été pointée mais sur ses reculs en son sein. Et ou le bas blesse, c'est autour de la question de l'État de droit et donc de la liberté d'expression. Il est nécessaire de s'interrogeait sur les mécanismes de ce retour en arrière si l'Europe souhaite poursuivre ses engagements démocratiques. Une des explication se trouve probablement liée au "Quatargate" , ce scandale de corruption qui a entaché le Parlement européen il y a peu. Pour rappel, des soupçons de corruption au Parlement européen se sont fait échos lorsque deux eurodéputés ont reconnu des voyages au Qatar qui de surcroit n'avaient pas été déclarés. Des eurodéputés belges concernés avaient nié les faits invoquant de "simples oublis" malgré leur inculpations par les autorités judiciaires. L'eurodéputée belge Marie Arena, elle aussi concernée par ce scandale avait du démissionner de sa présidence à la sous-commission des Droits de l'homme du Parlement. En décembre, c'est la du Parlement européen pour la Grèce, Eva Kaili, qui avait été incarcérée pour soupçons de corruption au profit du Qatar. Nul doute que ce scandale aura contribué à mettre à mal la réputation du Parlement européen. D'autres pays européens sont pointés du doigt lors de ce forum Les scores de l’Autriche, du Luxembourg des Pays-Bas et du Portugal sont ainsi en baisse. Il y a l'Autriche ou la liberté de la presse est mise à mal d'autant que les élites nationales autrichienne faisant des répression régulières sur les médias. L'Allemagne, d'habitude le bon élève" n'échappe pas au rapport pour ses élections souillées qui manquent de transparences et sans compter les problématiques financement des campagnes qui restent un peu obscurs. La France, elle aussi, se situe loin du classement de tête pointant seulement à la 21e place après la Grèce, la Lituanie ou encore l'Espagne. Elle fait donc partie de ces démocratie en déclins. La France s'est faite rappeler à l'ordre par plusieurs grandes instances internationale dont l'ONU pour de multiples atteintes aux libertés fondamentales. Cela du fait de nombreuses polémiques lors des différentes manifestations dont celle concernant la réforme des retraites ou de nombreux rassemblement avaient été interdits et s'étaient accompagnées d'arrestations arbitraires.

  • Débat à l'Union Oxford entre Sathavisian Cooper et Thierry Paul Valette

    À l’Union Oxford, dans le cadre de son bicentenaire, la prestigieuse et ancienne association des étudiants d'Oxford. Pour cette dernière cession, l’ancien compagnon de bloc cellulaire de Nelson Mandela, Sathavisian débattra face à Thierry Paul Valette. Débat à l'Union Thierry Paul Valette : Dans le cadre de son bicentenaire, la prestigieuse et ancienne association des étudiants d'Oxford ouvre les débats avec des personnalités du monde entiers sur différents sujets dont la légitimé ou non de la violence lors dans les luttes sociales et politiques. Pour cette dernière cession, l’ancien compagnon de bloc cellulaire de Nelson Mandela,Sathavisian Cooper a répondu présent. Il débattra face à l'ancien leader du mouvement des Gilets Jaunes Thierry-Paul Valette. L’occasion d’échanger sur les stratégies des luttes sociales, politiques et antiracistes. Dans un triste contexte de forte poussée de l’#antisémitisme, ces échanges ne peuvent-être que enrichissants. Nous citerons cette phrase de Nelson #Mandela tirée de son ouvrage Le long chemin vers la liberté : « J’ai toujours trouvé que les juifs avaient l’esprit plus ouvert que le reste des blancs sur les questions raciales et politiques, peut-être parce que, dans l’histoire, ils avaient eux-mêmes été victimes de préjugés. » . Mandela, en 1990, avait fait un long et beau discours au Parlement Européen sur l’#apartheid

  • Thierry Paul Valette invité à débattre à la prestigieuse Oxford Union Society

    L’Oxford Union c'est une riche histoire de rassemblement de personnalités internationales de premier plan pour débattre des sujets les plus cruciaux de notre époque. Pour célébrer le bicentenaire de l'Oxford Union, des personnalités sont invitées à débattre afin de confronter les questions les plus audacieuses de notre époque dont le recours à des manifestations violentes qui est une pratique presque aussi ancienne que la politique elle-même. Le XXe siècle est une période caractérisée par les actions de révolutionnaires considérés comme des « terroristes » par certains et des « combattants de la liberté » par d’autres. C'est donc au titre de militant engagé pour les droits humains et figure des Gilets Jaunes, mouvement mondialement connu, que le fondateur d'Europe Équitable, Thierry Paul Valette, est invité à débattre, le 9 novembre prochain à Oxford, afin de savoir s'il est vraiment éthique, juste ou démocratique de recourir à la violence comme outil politique de libération ? Dans un contexte international marqué par l'escalade dans le conflit israélo-palestinien, suite à l'attaque terroriste perpétrée par le Hamas le 7 octobre dernier, ces questions prennent désormais tout leurs sens. En effet, nombreux sont les rassemblements pro-palestiniens où les actes barbares du Hamas sont considérés comme étant de simples actes de guerre. Même si les manifestations violentes peuvent sembler être l'arme intuitive d'une révolution ou d'un changement de régime, il est en droit de s’interroger si leurs fins justifient les moyens.

  • Ingérence étrangère: un danger démocratique pour les élections européennes de 2024

    Faisant suite au rapport annuel de la délégation parlementaire au renseignement sur l'ingérence étrangère en France nous alertons sur le danger démocratique à venir dans le cadre des élections européennes de 2024. Le rapport annuel de la délégation parlementaire au renseignement sur l'ingérence étrangère en France, publié ce jeudi 2 novembre, est accablant et sans appel. Le niveau de menaces particulièrement élevé touche également l'Europe, aussi une réponse rapide commune de l'UE nous semble plus qu'une évidence. Entre fakes-news qui pullulent sur les réseaux sociaux et infiltrations dans certains médias alternatifs, les outils mis en place ne suffisent plus. Les faussaires de vérités savent désormais contourner l'arsenal juridique dont la loi sur les fausses informations adoptée par le Parlement français le 20 novembre 2018. Nous demandons la mise en place urgente d'une stratégie coordonnée pour protéger nos démocraties de ceux qui revêtissent les habits de la réalité. Nous soutenons l'idée la proposition d'un projet de loi dédié à la lutte contre les ingérences étrangères et suggérons également: * la mise en place d'une plateforme spécifique type Pharos. * le renforcement du code de bonnes pratiques des Gafas. * l'audition d'Elon Musk au Parlement européen pour participation à la désinformation. * une réévaluation du budget « anti-fake news » de l'UE * un audit sur les algorithmes utilisés par les plates-formes pour limiter la désinformation. Les prochaines élections européennes de juin 2024 présentent des enjeux cruciaux sur l'avenir de l'Europe. Face à la vertigineuse montée des populismes et de l'antisémitisme, nous ne pouvons nous permettre de voir la vérité se travestir pour des intérêts obscurs. Europe Équitable nous alertons sur le danger démocratique à venir ingérence-étrangère-un-danger-démocratique-pour-les-élections-européennes-de-2024dans le cadre des élections européennes de 2024.

  • Nous soulignons l’impérieuse nécessité d'une Europe unie face au conflit israélo-palestinien

    Alors que Mahmoud Abbas semble dépassé par la situation, que les illusions des palestiniens sur un arbitrage décisif de la communauté internationale se sont réduits à néant lors du dernier conseil de l'ONU, l'Europe fait face à ses divisions. C'est dans ce contexte que les Vingt-Sept se sont réunis en Conseil européen ces jeudi 26 et vendredi 27 octobre. L’UE a pris position sur la guerre entre l'état hébreux et le Hamas. Mais ce n'est pas la cohérence que cherchaient les États membres. En effet, en matière de politique extérieur la politique étrangère européenne ne constitue pas un domaine de prédilection comme il est précisé dans le traité de Lisbonne qui rappelons-le encadre son fonctionnement. L'Europe doit revoir ses positions en vue d'une entité uniforme. La seule volonté politique de mettre en place une politique extérieure de sécurité et de défense ne suffit plus. Que chaque État membre puisse décider de sa politique étrangère est légitime, seulement c'est cette même légitimité qui dans le cadre du conflit qui oppose Israël au Hamas montre les limites actuelles de l'UE. La question d'une Europe fédérale se pose réellement quand bien même elle se confronte à la souveraineté des pays membres. La France, en l’occurrence, dont son histoire manifeste d'anciennes prérogatives royales qui survivent dans la république, avait dans les années 80 pris officiellement position sur le conflit israélo-palestinien dans le cadre de la déclaration de Venise du 13 juin 1980. Pour rappel, cette déclaration stipulait que «eu égard aux liens traditionnels et aux intérêts communs qui unissent l'Europe au Moyen-Orient, les neuf États membres de l'Union européenne se doivent de jouer un rôle particulier dans la région et d'œuvrer de façon plus concrète en faveur de la paix». Aujourd'hui, contrairement à l'époque du traité de Venise, la nouvelle directive européenne à un fort impact puisque même le secrétaire d’État américain John Kerry tente de relancer les négociations entre Israël et les Palestiniens. L'Europe doit maintenir ses initiatives pour montrer qu’elle refuse de cautionner la politique d’Israël au sujet de la colonisation des territoires . Il est important que les États-Unis rejoignent l’Europe. L'Europe ce sont des valeurs plurielles démocratiques au service de sa paix intérieure et cela fonctionne parfaitement depuis près de trente ans, alors même si elle reconnait ne pas être une puissance géopolitique au Proche-Orient, l'Europe doit maintenir sa capacité d'influence. La résolution du Conseil de sécurité de l’ONU sur le droit à l’autodétermination de la Palestine doit unir les États-unis d'Amérique et les États-unis d'Europe. Pourquoi pas un traité "Venise numéro 2" À bien des égards, Les positions de l'ensemble des pays membres de l’Union se rejoignent sur de nombreux point et peut parler avec l'ensemble des acteurs, sauf bien sur avec les organisations terroristes du fait du principe de son éthique qui un fondement même de ses politiques publiques. Pour l'heure, l'UE à partir de la base de ses principes peut être une force de propositions multiples pour l'avenir de Gaza. Internationaliser la gouvernance de la bande de Gaza pour forcer la ligue arabe à se positionner de manière transparente.

  • Conflit israélo-palestinien, l'antisémitisme:

    Depuis le 7 octobre 2023, et l’attaque terroriste perpétrée par le Hamas, Israël s’est lancé dans une guerre pour en terminer avec le mouvement terroriste dans la bande de Gaza. Le bilan humain augmente de jour en jour malgré les nombreux appels au cessez-le-feu par de nombreux organismes internationaux dont l’OMS. la position d'Europe Équitable NOUS DEVONS CONSTRUIRE UNE PAIX "JUSTE" ET DURABLE La France doit s’engager farouchement dans la lutte contre l'antisémitisme Face aux actes d’horreur commis par le Hamas le 7 octobre 2023 qui ont fait 1 400 morts, selon un bilan provisoire des autorités israéliennes, et qui comptabilisent également 239 otages, la riposte de l'État Hébreux divise une partie de la classe politique et de nombreuses positions antisémites fleurissent de partout. Des slogans haineux dans les manifestations palestiniennes aux tags antisémites sur les façades d’immeubles, laisse apparaître une haine envers Israël et la communauté juive de manière générale. Force est de constater qu'une partie de la population française, notamment sur les réseaux sociaux, prennent en otage la cause palestinienne pour revendiquer leurs positions antisémites. Les positions plus qu'ambiguës de certains dirigeants politiques ne font que renforcer cette vague montante. La France insoumise, au travers de son leader, Jean-Luc Mélenchon ne cesse de susciter les polémiques par son manque de condamnation ferme et claire. Cette soudaine montée de haine, bien que dormante ces dernières années, se faisait de plus en plus présente présente dans les rassemblements protestataires en France. Pendant le mouvement des Gilets Jaunes, de nombreuses attaques antisémites ont jeté l'opprobre sur le mouvement et très rarement condamnés par les figures médiatiques gilets jaunes. Cette gangrène antisémite murmurait donc dans l'indifférence générale des organisateurs et des participants aux manifestations sociales à quelques rares exceptions qui s’interrogeait sur la présence de drapeaux Palestiniens dans les cortèges Parisiens. La libération des détenus par le Hamas doit être la priorité ainsi que la protection des civils Palestiniens pour commencer des négociations de construction d'une paix durable. La position de la France doit être ferme. Comparer une vie contre autre une vie est inacceptable, il n'est nullement question de prendre position en faveur d’Israël ou pour la Palestine, seulement de se dresser face au terrorisme. La cause Palestinienne aussi noble soit-elle ne doit ni être détournée pour alimenter la haine envers Israël, ni être rapporté sur notre sol pour nourrir ceux qui utilisent les colères populaires dans leur lutte politique. Force est de constater que les multiples rassemblements en France ne sont malheureusement pas des rassemblements pour la paix entre Israël et les Palestiniens mais sont des rassemblements de soutien pour un camps donc contre l'autre. Cet amalgame des choses ne fait que renforcer les positions du Hamas. L’application pleine et entière des résolutions de l’Organisme des Nations unies (ONU) doit être une priorité dans le cheminement des positions internationales envers le conflit israélo-palestinien. C'est pour cette raison que le soutien à l’ensemble des initiatives diplomatiques pour une reprise des pourparlers de paix est primordial. Le processus de colonisation et le blocus mis en place depuis de nombreuses années, devront cesser pour concrétiser la vision de deux États vivant côte à côte dans la paix. S'il le faut, ré envisager les frontières de 1967 devra se penser. C'est la position historique de la diplomatie française commune à de nombreux États membres des Nations unies. Europe Équitable souligne l’impérieuse nécessité d'une mise en place rapide d'une autorité Palestinienne démocratique afin d'établir un véritable dialogue dans le processus de paix à venir avec les autorités Israéliennes.

  • Europe Équitable enregistré au journal officiel de la République

    C'est officiel, Europe Équitable est désormais un nouveau parti centriste français Après réception du récépissé de Déclaration de "CRÉATION" de l'association n° W751271400, le nouveau parti centriste à une existence légale au journal officiel . Comme indiqué dans nos statuts, il est le donc le premier parti français centré sur l'Europe et dont sa devise est: "Pour une Europe de l'équité, de la liberté et de la solidarité". Le parti présentera donc sa liste aux prochaines élections européennes de 2024: "l'Union pour une Europe Équitable". Face aux défis de la guerre, du terrorisme, de l'immigration et de la précarité, du dérèglement climatique, de l’explosion sociale, les portes du pouvoir sont ouvertes aux extrêmes européennes. Défendre des valeurs humanistes, d'équité et de solidarité est une nécessité absolue face à la montée des obscurantismes. Europe Équitable porte le projet d'une nouvelle Europe plus forte. L’urgence démocratique et sociale doit permettre d’œuvrer dans l’intérêt de nous tous. Notre projet s’inscrit dans une démarche de réconciliation de l’humanité autour de valeurs communes.

Europe Equitable est un nouveau parti politique  centré sur l'Europe dans le respect du droit européen. Les enjeux sont nombr

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