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52 résultats trouvés avec une recherche vide

  • Communiqué d'Europe équitable suite à l’attaque terroriste du Hamas contre Israël

    C'est avec la plus grande fermeté que Europe équitable condamne sans réserve l’attaque terroriste du Hamas contre Israël. Nous adressons notre soutien sans faille à la population israélienne. Ces meurtres de masse et les prises d’otage de civils (hommes, femmes, enfants, personnes âgées), ne doivent pas rester impunis. Israël ne fait pas partie de l'EU mais elle appartient à notre famille européenne, de très nombreux Israéliens sont d'origine européenne. Nous adressons nos pensées aux victimes de cette attaque sans précédent depuis l'holocauste et notre solidarité à l’ensemble de la population israélienne. Le Hamas est une entreprise terroriste qui ne recherche pas la paix et doit être démantelée. Une initiative diplomatique européenne pour un cessez-le-feu doit voir le jour, un embrasement du conflit reste à craindre. La détresse du peuple palestinien, instrumentalisée par le Hamas appelle à la nécessité de critique envers la politique du gouvernement Netanyahu mais elle ne doit en aucun cas être mise en avant pour légitimer l’agression terroriste par le Hamas. Par ailleurs, nous demandons à l'ONU la mise en place d'un sommet entre les deux parties afin de trouver une solution à ce conflit qui serait la reconnaissance de deux États souverains vivant côte-à-côte en sécurité.

  • Élargissement de l’UE : l’adhésion de l’Ukraine, de la Moldavie et de la Géorgie sera longue

    L’Ukraine, la Moldavie et la Géorgie ont envoyé leur candidature début 2022 pour adhérer à l’UE. Les deux premières ont depuis obtenu le statut de candidat de la part des Vingt-Sept seulement le processus d’intégration sera long et exigeant. Tout s’est accéléré à la suite de l’invasion de Ukraine par la Russie, le 24 février 2022. Alors que l’UE a rapidement accordé son soutien à Kiev, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a signé une demande d’adhésion à l’Union européenne le 28 février. Une candidature suivie par celles de la Géorgie et de la Moldavie le 3 mars 2022. Ces anciennes républiques soviétiques craignent d’être les prochaines cibles de Vladimir Poutine. Le 23 juin, les chefs d’Etat et de gouvernement des Vingt-Sept ont accordé le statut de candidat à l’adhésion européenne à l’Ukraine et à la Moldavie. Mais pas à la Géorgie, car des efforts supplémentaires lui sont demandés. La procédure d’adhésion prend en règle générale plusieurs années. L’intégration à l’UE est un processus au long cours : le droit du pays candidat doit devenir conforme au droit européen, ce qui donne lieu à des négociations souvent complexes. Si les premières vagues d’élargissement à l’Ouest avaient pu être achevées relativement rapidement, les exemples plus récents ne manquent pas pour illustrer l’important délai qui peut exister entre le dépôt de candidature et l’adhésion officielle à l’UE : La Hongrie et la Pologne ont envoyé leur demande d’adhésion en 1994 et ont intégré l’Union seulement en 2004 ; La Roumanie et la Bulgarie ont adressé leur candidature à l’Union européenne en 1995 et ont finalement adhéré en 2007 ; La Croatie a présenté sa demande d’adhésion en 2003 et a rejoint l’Union en 2013. La Commission européenne doit rendre un avis sur chacune des demandes d’adhésion après les avoir examinées. Une fois l’avis rendu par l’exécutif européen, les candidatures doivent être acceptées à l’unanimité par les Etats membres. Le pays obtient alors le statut de candidat à l’adhésion. Le 23 juin 2022, là encore avec une certaine rapidité, les Vingt-Sept ont attribué ce statut à l’Ukraine et à la Moldavie. Le processus d’intégration donnera lieu à des négociations longues et complexes, qui ne peuvent aboutir à une adhésion à l’UE qu’avec, de nouveau, l’accord de tous les pays de l’UE.

  • Relations de l’Union européenne avec Israël et la Palestine.

    L’Union européenne qui est le premier partenaire commercial d’Israël et le premier donateur d’aide au développement à la Palestine au monde, tente tant bien que mal de faire entendre sa voix au Proche-Orient. La position de l'Union européenne est claire. Ursula von der Leyen l'a réaffirmé quelques jours après la vague d’attaques terroristes en territoire israélien par le Hamas, à partir du 7 octobre. “L’Europe se tient aux côtés d’Israël. Et nous soutenons pleinement le droit d’Israël de se défendre”. La déclaration de la présidente de la Commission européenne, , intervient quelques jours après le déclenchement d’une Un jour avant cette prise de parole, le chef de la diplomatie européenne. Josep Borrell avait appelé, peu de temps avant, à une augmentation de l’aide humanitaire aux Palestiniens motivé par une situation humanitaire “désastreuse” dans la bande de Gaza. L’Union européenne s'installe donc une position impartiale d'autant qu'elle s’est de longue date engagée en faveur du processus de paix. Elle prône une solution à deux États. Par ailleurs, Israël est intégré à la politique de voisinage de l’UE qui vise à assurer de bonnes relations politiques et économiques avec les voisins des Etats membres. L’UE est le premier donateur d’aide au développement de la Palestine, un dialogue amorcé dans les années 70 à l’initiative de la France et visant une coopération accrue entre l’Europe et les États arabes. Au sein de l’Union européenne, les approches des Etats membres concernant la Palestine, pays observateur à l’ONU depuis 2012, diffèrent sensiblement. Notamment du point de vue de la reconnaissance diplomatique de l’Etat. Neuf pays parmi les Vingt-Sept, le plus souvent en Europe centrale et orientale, reconnaissent la Palestine. Un héritage de leur passé communiste, l’URSS et ses Etats satellites s’étant positionnés en faveur du camp palestinien. La Roumanie, la Bulgarie, la Slovaquie, la Pologne, la République tchèque et la Hongrie ont ainsi établi des relations diplomatiques avec la Palestine, de même que la Suède, Chypre et Malte. Si le premier groupe de pays les avaient initiées lors de la Guerre froide, certains parmi eux, la Hongrie et la République tchèque notamment, comptent aujourd’hui parmi les plus fervents soutiens d’Israël au sein de l’UE. L'attaque contre Israël est donc un imbroglio européen au tour du programme d'aide à la Palestine en dépit des aides maintenues. L’UE a toujours indiqué qu’elle ne reconnaîtrait aucun changement aux frontières de 1967, qui attribuent la Cisjordanie et la bande de Gaza à la Palestine. De fait, elle ne considère pas les territoires occupés par Israël en Palestine, et les colonies qui s’y trouvent, comme étant israéliens. Ce qui a notamment conduit l’UE à exclure les produits issus des colonies du champ d’application des accords commerciaux avec Israël. L’UE s’est aussi montrée critique vis-à-vis d’Israël en matière de respect des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés, de même que lors des opérations militaires dans la bande de Gaza dirigée par le Hamas, dénonçant à plusieurs reprises un usage “disproportionné” de la force. En décembre 2022, les eurodéputés ont par exemple adopté une résolution appelant à une initiative européenne de paix, condamnant tous les actes de violence émanant des deux camps, y compris l’usage disproportionné de la force par l’armée israélienne. Source: Publié le 12.10.2023 Boran Tobelem

  • Les aspirations européennes et africaines: l'importance capitale d'un partenariat UE-Afrique

    Le dernier sommet UE-UA a été un moment capital pour renouveler une approche stratégique commune globale qui concrétise les aspirations des deux continents. Seule une Afrique prospère, pacifique et résiliente constituera un objectif essentiel de la politique étrangère de l'UE, et que l'UE est résolue à consolider sa relation avec les États africains et l'Union africaine, de manière à ce qu'elle réponde aux aspirations tant européennes qu'africaines. Un partenariat solide doit être axé en particulier sur: le multilatéralisme, la paix, la sécurité et la stabilité, le développement durable et inclusif, et la croissance économique durable. Le Conseil européen avait mis en exergue, en 2020, le fait que la pandémie de COVID-19 avait démontré une fois de plus la nécessité d'une riposte mondiale et d'un partenariat renforcé entre l'UE et l'Afrique. Le Conseil avait souligné que, dans le cadre des efforts déployés en vue de la mise en place d'une stratégie conjointe fondée sur des objectifs communs, l'UE se réjouit à la perspective d'intensifier un échange ouvert et inclusif avec les citoyens, la société civile, la diaspora, les jeunes, le secteur privé et des intellectuels et décideurs de premier plan des deux continents.

  • Élection européenne 2024

    L' élection européenne 2024 se tiendra le dimanche 9 juin prochain en France. Les citoyens européens sont appelés à renouveler leurs représentants au Parlement pour cinq ans. Les Français, eux, doivent élire 81 eurodéputés. Voici les têtes de liste dans notre pays. Les 450 millions de citoyens européens seront de retour aux urnes au mois de juin prochain pour les élections européennes 2024. Les Français, eux, voteront le dimanche 9 juin pour élire 81 eurodéputés sur les 720 membres du prochain Parlement. Ils auront le choix entre plusieurs listes composées de plusieurs candidats dont une tête de liste. Les listes qui recueilleront plus de 5% des voix bénéficieront d’un nombre de sièges proportionnel à leur nombre de voix, européenne 2024 . Mode de scrutin des élections européennes pour la France. La loi du 25 juin 2018 relative à l’élection des représentants au Parlement européen rétablit une circonscription unique qui était déjà en vigueur avant les élections de 2004 (pour les élections de 2004 et de 2009, le territoire était découpé en 8 circonscriptions régionales, 7 pour la métropole, 1 pour l’outre-mer). Les élections européennes ont lieu au suffrage universel direct à un tour. Les candidats sont élus pour cinq ans selon les règles de la représentation proportionnelle à scrutin de liste à la plus forte moyenne. Les partis ayant obtenu plus de 5% des suffrages bénéficient d’un nombre de sièges proportionnel à leur nombre de voix. Fonctions incompatibles avec le mandat d'un eurodéputé En vertu de la loi organique du 15 septembre 2017 pour la confiance dans la vie politique, à partir du renouvellement du Parlement européen, tout eurodéputé ne peut plus continuer une activité de conseil débutée moins d’un an avant son mandat, même celle d’avocat, ni conserver le contrôle d’une société de conseil s’il l’a acquise moins d’un an avant son mandat. La loi interdit également d’exercer une activité de lobbyiste. Rôles d'un député européen ( européenne 2024 ) Le député européen exerce trois pouvoirs : législatif : le Parlement est partie prenante dans l’adoption des actes juridiques communautaires, en "procédure législative ordinaire" (anciennement codécision), en procédure d’approbation ou de consultation, avec dans certains cas un droit d’initiative ; budgétaire : il établit, avec le Conseil de l’Union européenne, le budget annuel de l’UE ; de contrôle : il intervient dans la procédure de désignation du président de la Commission européenne et peut censurer la Commission.

  • La prestigieuse Union Oxford vote une motion avec Sathasivan Cooper et Thierry-Paul Valette

    Le 9 novembre, l'Union d'Oxford a débattu de la motion « Cette Chambre estime que les manifestations violentes sont un outil politique nécessaire ». Le militant français Thierry-Paul Valette était invité pour débattre aux côtés de Sathasivan Cooper, l'ex-compagnon de bloc cellulaire de Nelson Mandela. Union d'Oxford vote une motion avec Sathasivan Cooper le Jeudi 9 novembre soir, la célèbre et prestigieuse Union d'Oxford a voté pour une motion: « Cette Chambre estime que les manifestations violentes sont un outil politique nécessaire ». C'est avec 112 voix pour et 103 contre que la motion est passée devant près de 600 étudiants de l'Université de Oxford. Thierry Paul Valette, militant et fondateur du parti Europe Équitables, s'est prononcé en faveur de la motion tout comme Theo Adler-Williams, étudiant au Worcester Collège et Charlotte Fallon, étudiante au Regent’s Park Collège. Le camp d'opposition a lui été défendu par l'activiste sud-africain, Sathasivian Cooper, qui a passé plus de cinq ans à Robben Island où il partageait un bloc cellulaire avec Nelson Mandela. À ses côtés on pouvait apercevoir Julia Maranhao-Wong, étudiante au St. Anne's Collège, et Ashlyn Cheong, étudiante au Somerville Collège, qui ont débattu contre la motion à ses côtés. Theo Adler-Williams du Worcester College a ouvert les débats avec un discours en informant la Chambre que la motion avait été décidée il y a des mois, soulignant qu'elle était bien avant la guerre entre Israël et le Hamas. Thierry Paul Valette a pris la parole en ouvrant son discours en affirmant « le droit des peuples à se défendre et, surtout, le droit de vivre dignement ». Il a critiqué Macron pour avoir « négligé l’oppression des citoyens français dans leur vie quotidienne » étant donné que « des milliers de personnes vivent dans la pauvreté et des milliers de personnes vivent sous les ponts ». Il s'est positionné sur le conflit israélo-palestinien dénonçant les bombardements à Gaza. Le militant Sathasivian Cooper a plaidé en faveur d'une manifestation pacifique. Il a fait valoir que si une révolution violente pouvait être justifiée dans des circonstances extrêmes, une protestation – « une déclaration ou une action exprimant sa désapprobation ou une objection à quelque chose » – ne pouvait pas être justifiée si elle était violente. Les cas de la Révolution haïtienne et de Spartacus ne sont pas des protestations, a-t-il souligné, mais plutôt des questions de vie ou de mort.

  • Européennes 2024, Europe Équitable et l'UNICEF souhaitent replacer les jeunes générations dans le projet européen

    Thierry-Paul Valette rencontrait ce 25 mars Mina Stahl,chargée des relations pouvoirs publics auprès de l'UNICEF, dans le cadre de l'élaboration des programmes à l'approche des élections européennes pour suivre les recommandations de l'UNICEF pour la prochaine mandature du Parlement et de la Commission, afin de rendre plus effectifs les droits de l'enfant dans l'Union européenne. Dans le cadre de l'élaboration des programmes à l'approche des élections européennes, l'UNICEF est convaincu qu'il est primordial de replacer les jeunes générations dans le projet européen. C'est dans ce contexte qu'Europe Équitable écoutait les recommandations de l'UNICEF pour la prochaine mandature du Parlement et de la Commission, afin de rendre plus effectifs les droits de l'enfant dans l'Union européenne. Ces recommandations s'inscrivent dans la continuité des constats apportés par le nouveau rapport UNICEF, La situation des enfants dans l'Union européenne 2024, qui révèle les défis majeurs auxquels sont confrontés les enfants, dont l'augmentation significative de la pauvreté et de l’exclusion sociale, la détérioration de la santé mentale, les abus sexuels en ligne et l'exposition à la pollution. Souhaitant replacer les citoyens au cœurs du processus européen, il était donc important qu'une rencontre entre les deux structures puisse se tenir. Très impliqué par la condition des enfants, Thierry-Paul Valette a donc répondu présent à l'invitation de l'UNICEF. Pour rappel, il avait participé en 2022 à la sécurisation du camp des réfugiés de Médika à la frontière ukrainienne et il dénonce depuis quelques années la famine au Yémen. Europe Équitable collaborera avec cette branche de l'ONU en échangeant des informations et différents plaidoyers pour améliorer la condition des enfants à l'échelle européenne. Europe Équitable souhaite qu'une conscience européenne s'élève et devienne un des enjeux fondamentaux de l'UE.

  • Européennes 2024, Thierry-Paul Valette répond aux questions d'Isabelle Négrier pour Europanova

    Le think tank EuropaNova donne la parole à toutes les têtes de liste. C'est dans le cadre des européennes 2024 que Thierry Paul Valette répondait aux questions d'Isabelle Négrier pour EuropaNova. Créé en 2003, le think tank EuropaNova dirigé par Isabelle Négrier stimule le débat européen dans la société civile en oeuvrant pour le rapprochement de la société civile et des institutions européennes. Dans le cadre des européennes de 2024, EuropaNova a décidé de donner la parole à toutes les têtes de liste présentent aux élections du 9 juin 2024. C'était aussi l'occasion de nous présenter le rapport du premier Conclave, une assemblée de 50 leaders européens réunie par EuropaNova, et publié en mars 2024. "A l'instar de la célèbre et très secrète conférence de Bilderberg, qui réunit depuis 1954 les puissants de la finance et du monde politique, le think tank EuropaNova organise la première édition d'un rendez-vous intitulé Conclave européen" ( Magasine Challenges ) Le Conclave souhaitait par Guillaume Klossa, président exécutif d'EuropaNova et fondateur d’EuropaNova, et Etienne Davignon, figure de la construction européenne qui a longtemps présidé la puissante ​conférence Bilderberg, montre l’urgence d’élargir et de booster les débats stratégiques sur l’avenir de l’UE. Tête de liste d'Europe Équitable, Thierry-Paul Valette indique à Isabelle Négrier les grandes lignes pour notre parti répondant à une série de questions sur l'Europe. Dans un entretien filmé il revient sur la nécessité de l'élargissement de l'UE, de la création d'un code européen des affaires, du réveil géopolitique de l'Europe et de l'importance de replacer les citoyens au cœurs des débats. SUR LA NÉCESSITÉ DE L'ÉLARGISSEMENT DE L'UE SUR LA CRÉATION D'UN CODE EUROPÉEN DES AFFAIRES SUR LE RÉVEIL GÉOPOLITIQUE DE L'EUROPE SUR L'IMPORTANCE D'UNE EUROPE DES CITOYENS

  • Européennes 2024, réunion au secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale

    C'est dans la perspective de l'élection européenne qu'Europe Équitable, représenté par son Co/fondateur Thierry Paul Valette, participait à une réunion du SGDSN face aux menaces dites hybrides ( cyber attaque, ingérence étrangère etc...) et l'occasion de rappeler les obligations des candidats et têtes de liste. Le secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale (SGDSN), anciennement secrétariat général à la Défense nationale (SGDN), est un organisme interministériel placé sous l'autorité du Premier ministre français. Il est chargé d'assister le Premier ministre dans l'exercice de ses responsabilités en matière de défense et de sécurité nationale et d'assurer le secrétariat du Conseil de défense et de sécurité nationale. Dans le cadre des élections européennes chaque parti était invité à participer cette réunion puisque le scrutin représente une cible importante de manipulations étrangères selon la sécurité nationale. Il était ainsi urgent d’aborder les risques « de cyberattaques, de manipulations de l’information et d’ingérences étrangères. Les élections européennes vont donc être un enjeu et une cible considérables Les tentatives de déstabilisation de la Russie sont nombreuses et au cours des dernières semaines, Paris a dénoncé ouvertement toute une série de tentatives de déstabilisation téléguidées par Moscou, visant à saper le soutien de l’opinion publique à la cause ukrainienne. La direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a ouvert, à l’automne 2023, une enquête sur des soupçons de tentative de déstabilisation des élections européennes du 9 juin. Selon les éléments réunis, confirmés par une source au sein du ministère de l’intérieur, ils portent sur la constitution d’une liste en France servant les intérêts de la Russie et pouvant bénéficier du soutien de Moscou. D’autres pays de l’Union européenne seraient visés par des menaces similaires visant à affaiblir le front anti-Moscou né de la guerre en Ukraine. Il était important de répondre présent d'autant que notre structure politique est dans le viseur de l'ingérence étrangère. En effet, Thierry-Paul Valette, fondateur et tête de liste de "l'Union pour une Europe arc-en-ciel" s'est vu solliciter pour des interviews par des personnages Russes allant même à se faire passer pour des journalistes de Yahoo actualité.

  • Xénophobie, islamophobie..., la vague brune à l'aube des élections européennes de 2024

    Dans 7 mois se tiendront les prochaines élections européennes et la victoire de Geert Wilders aux législatives néerlandaises montre que l’extrême droite est en bon chemin pour être majoritaire au parlement européen. la vague brune à l'aube des élections européennes de 2024 Les digues avec la droite traditionnelle sautent les unes après les autres. La Slovaquie, la Finlande, l'Italie, la Suède, la Hongrie sont gangrénés par le populisme et ses discours. La France ne résistera pas longtemps à cette vague. Alors que les élections européennes doivent se tenir en juin prochain, le Rassemblement national tente de faire du scrutin un référendum pour désavouer le président de la République. Le président du parti à la flamme Jordan Bardella l’admettait lui-même dans un entretien au Figaro : « C'est, en fait, l'unique occasion pour les Français de sanctionner le gouvernement et de préparer l'après-Emmanuel Macron.» De son côté, Marine Le Pen entend mettre le chef de l’État et « ses amis idéologiques en minorité au Parlement européen », comme elle « a réussi (...) à l’Assemblée nationale ». Les idées et les politiques de Marine Le Pen représentent un danger pour l'Europe en raison de leur orientation nationaliste, de leur opposition à l'immigration et de leur remise en question de l'intégration européenne. Ses positions ne peuvent que conduire à la division, à la discrimination et à la montée de l'extrémisme. Si ses idées sont soutenues, c'est en raison de préoccupations liées à l'immigration, à la souveraineté nationale ou à l'économie. Il est nécessaire de promouvoir le dialogue constructif pour comprendre les différentes perspectives et trouver des solutions qui favorisent la cohésion sociale, le respect des droits de l'homme et la stabilité en Europe. Le projet européen traverse en ce moment une période de crise sans précédent avec la montée de ces extrêmes. Le moment est idéal pour les populistes les dealers de haine. L'occasion est trop belle pour eux de berner les citoyens vulnérables et de leur promettre des lendemains heureux. Le mot d'ordre: se retrancher derrière des frontières bien étanches. Le spectre d'un rideau de fer partout en Europe pour stopper les afflux de pauvres, bloquer les suspects qui fuient des guerres ou des tyrannies, devient une réalité. Si l'Union est en danger, c'est parce qu'elle n'est pas assez unie et manue de cohérence. Elle est divisée en trop de sous-ensembles différents, comme en matière monétaire ou en matière de libre circulation. Elle est démunie de diverses formes de politiques communes et d'harmonisations pourtant essentielles, comme en matière fiscale, en matière de défense ou encore – et surtout – en matière sociale.

  • Élection de Geert Wilders, l'Europe de tous les dangers

    La lutte contre le populisme en Europe est un défi complexe et multifacette mais nous ne devons pas y renoncer. La victoire de Geert Wilders est un mauvais signal envoyé pour la démocratie et pour l'avenir de l'Europe. Nous en connaissons les raisons, les inégalités économiques, les préoccupations liées à l'immigration, le mécontentement politique et la perte de confiance dans les institutions démocratiques. Nous devons agir pour contrer ces populisme. l'Europe de tous les dangers . Tous comptent engranger de bons résultats aux élections européennes de juin prochain. "La proportionnelle par listes en fait des scrutins défouloirs pour les anti-européens et sont assez propices aux partis nationaux-populistes. Pour contrer le populisme, il est essentiel de promouvoir une communication transparente et honnête entre les dirigeants politiques et les citoyens, en mettant l'accent sur l'éducation civique et la participation démocratique. Il est également crucial de s'attaquer aux inégalités économiques et sociales, en veillant à ce que tous les citoyens aient accès à des opportunités équitables. Promouvoir le dialogue interculturel et lutter contre la discrimination et l'intolérance est essentiel. Encourager la diversité et l'inclusion dans la société peut contribuer à réduire les tensions et à renforcer la cohésion sociale. Il est essentiel de renforcer les institutions démocratiques et de promouvoir la transparence, la responsabilité et l'intégrité dans la gouvernance. Cela peut aider à rétablir la confiance des citoyens dans le système politique et à contrer les discours populistes qui exploitent les frustrations et les peurs de la population. Il convient de noter que la lutte contre le populisme est un processus continu qui nécessite une approche globale et collaborative, impliquant à la fois les dirigeants politiques, la société civile et les citoyens eux-mêmes

  • La France, championne d'Europe 2022 des impôts, la politique de baisse d'E.Macron en échec

    En 2022, la France est la championne des impôts en Europe avec un taux de prélèvements obligatoires supérieur de 6,1 points à la moyenne des autres états membres. Un chiffre en hausse puisque l'année précédente ce taux était de 4,8 points. Le taux de prélèvements obligatoires s'est établi à 48% du produit intérieur brut (PIB) l'an passé, soit 6,1 points de plus que la moyenne de la zone euro, contre 4,8 points un an plus tôt. La Belgique arrive deuxième avec un taux de 45,6%. L’Allemagne est à 42,1 %, légèrement au-dessus de la moyenne de la zone euro, située à 41,9 %. Ce triste bilan est sans appel et caractérise l'échec du président de la république qui s'était engagé en 2017 sur une baisse générale des impôts. Des raisons conjoncturelles peuvent expliquer cette hausse importante mais en France les produits énergétiques sont beaucoup plus taxés par rapport à nos voisins européens avec la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) - ainsi que la TVA sur la TICPE. Et cela a permis à l’État d'engranger d'importantes recettes fiscales. Pourtant l'État peut, s'il le souhaite, baisser ses impôts sensiblement de plusieurs manières : 1. Réduire les dépenses publiques : en diminuant les niveaux de dépenses de l'État dans différents domaines, il y a une possibilité de libérer des fonds pour réduire les impôts. Cela peut impliquer des coupes dans les dépenses non essentielles ou inefficaces. 2. Stimuler la croissance économique : en mettant en place des politiques économiques favorables à la croissance, l'État peut augmenter le produit intérieur brut (PIB) et les revenus fiscaux. La croissance économique accrue peut permettre une réduction des impôts tout en maintenant des niveaux de recettes stables. 3. Éliminer les niches fiscales et les exemptions : l'État peut réduire les impôts en éliminant les niches fiscales, les subventions et les exemptions fiscales qui bénéficient à certains secteurs ou groupes de contribuables. Cette mesure permettrait de simplifier le système fiscal et de redistribuer la charge fiscale. 4. Améliorer l'efficacité fiscale : en optimisant les processus de recouvrement des impôts et en réduisant les coûts administratifs, l'État peut économiser des ressources et potentiellement réduire les impôts. 5. Réformer le système fiscal : en réalisant des réformes fiscales majeures, l'État peut simplifier et rationaliser le système fiscal. Cela peut inclure une réduction des taux d'imposition, une élimination des doubles impositions, une modification des tranches d'imposition, etc. Il est important de noter que la politique fiscale est un compromis entre la nécessité de financer les dépenses publiques et le désir de soutenir la croissance économique et la prospérité des contribuables. Toute décision visant à réduire les impôts doit être soigneusement évaluée pour assurer la viabilité financière de l'État.

Europe Equitable est un nouveau parti politique  centré sur l'Europe dans le respect du droit européen. Les enjeux sont nombr

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